Mesdames, Messieurs, auriez-vous oubliĂ© … ?
DĂ©claration des Droits de l’Homme et du Citoyen (1789)
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et Ă©gaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent ĂȘtre fondĂ©es que sur l’utilitĂ© commune.
Art. 4. La libertĂ© consiste Ă pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas Ă autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la SociĂ©tĂ© la jouissance de ces mĂȘmes droits. Ces bornes ne peuvent ĂȘtre dĂ©terminĂ©es que par la Loi.
Art. 5. La Loi n’a le droit de dĂ©fendre que les actions nuisibles Ă la SociĂ©tĂ©. Tout ce qui n’est pas dĂ©fendu par la Loi ne peut ĂȘtre empĂȘchĂ©, et nul ne peut ĂȘtre contraint Ă faire ce qu’elle n’ordonne pas.
Art. 6. La Loi est l’expression de la volontĂ© gĂ©nĂ©rale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs ReprĂ©sentants, Ă sa formation. Elle doit ĂȘtre la mĂȘme pour tous, soit qu’elle protĂšge, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens Ă©tant Ă©gaux Ă ses yeux sont Ă©galement admissibles Ă toutes dignitĂ©s, places et emplois publics, selon leur capacitĂ©, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
DĂ©claration universelle des droits de l’homme (1948)
Article premier – Tous les ĂȘtres humains naissent libres et Ă©gaux en dignitĂ© et en droits. Ils sont douĂ©s de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternitĂ©.
Article 7 – Tous sont Ă©gaux devant la loi et ont droit sans distinction Ă une Ă©gale protection de la loi. Tous ont droit Ă une protection Ă©gale contre toute discrimination qui violerait la prĂ©sente DĂ©claration et contre toute provocation Ă une telle discrimination.
No comment !