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Xerox: Les postes de direction en pleine vague de licenciements

The OEM has recently laid off staff in a multitude of management positions.

The Democrat & Chronicle reports that union-represented employees, including manufacturing and production workers, were not affected by the redundancies. Gary Bonadonna, a union leader, revealed he first heard of the news when learning that his management liaison had lost their job.

According to WHEC, Xerox attributed the layoffs to “difficult decisions”; Sandy Mele, who was not dismissed, said: “It’s always nerve-racking. I’ve heard it was happening but it’s been so quiet. I haven’t heard much of anything.” Another employee, an outside contractor named only as Joe, admitted that “everybody’s nervous,” adding: “It’s to be expected. These rumours have been flying forever.”

The exact number of staff laid off by the Connecticut-based company is unclear. Earlier this year, IT software engineers and programme managers were among those laid off from its Webster, NY operations, with the company confirming that 900 jobs had been cut globally during Q3 of the financial year.

“It’s frustrating not knowing where we’re going and what we’re doing,” said Webster Town Supervisor Ron Nesbitt. “The problem is they keep on moving employees around and it’s like shooting at a dartboard. I don’t know who I’m talking to.”

Nesbitt further revealed that the increasing number of vacant buildings on the corporation’s campus was also becoming an issue.

“There’s a lot of buildings,” he explained. “There’s an empty 450,000 square-foot building. There is Building 200 that used to be a call centre that’s now empty. We want to fill those buildings up and put jobs there.” 

Français

L’OEM a rĂ©cemment licenciĂ© du personnel dans une multitude de postes de direction.

Selon les rapports Democrat & Chronicle, les employĂ©s syndiquĂ©s, y compris les travailleurs du secteur manufacturier et de la production, n’ont pas Ă©tĂ© touchĂ©s par ces licenciements. Gary Bonadonna, un dirigeant syndical, a rĂ©vĂ©lĂ© qu’il avait entendu parler de la nouvelle pour la première fois lorsqu’il a appris que son agent de liaison Ă  la direction avait perdu son emploi.

Selon le WHEC, Xerox a attribuĂ© les licenciements Ă  des « dĂ©cisions difficiles » ; Sandy Mele, qui n’a pas Ă©tĂ© licenciĂ©, a dĂ©clarĂ© : « C’est toujours angoissant. J’ai entendu dire que c’Ă©tait en train de se produire, mais c’est si calme. Je n’ai pas beaucoup entendu parler de quoi que ce soit. » Un autre employĂ©, un entrepreneur externe nommĂ© seulement Joe, a admis que  » tout le monde est nerveux « , ajoute-t-il : « Il fallait s’y attendre. Ces rumeurs volent depuis toujours. »

Le nombre exact d’employĂ©s mis Ă  pied par l’entreprise du Connecticut n’est pas clair. Au dĂ©but de l’annĂ©e, les ingĂ©nieurs informaticiens et les directeurs de programmes ont Ă©tĂ© parmi ceux qui ont Ă©tĂ© licenciĂ©s de ses opĂ©rations de Webster, NY, et la sociĂ©tĂ© a confirmĂ© que 900 emplois avaient Ă©tĂ© supprimĂ©s dans le monde au cours du troisième trimestre de l’exercice financier.

« C’est frustrant de ne pas savoir oĂą nous allons et ce que nous faisons « , a dĂ©clarĂ© Ron Nesbitt, superviseur municipal de Webster. « Le problème, c’est qu’ils continuent Ă  dĂ©placer les employĂ©s et c’est comme si on tirait sur une cible. Je ne sais pas Ă  qui je parle. »

M. Nesbitt a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© que le nombre croissant d’immeubles vacants sur le campus de la sociĂ©tĂ© devenait Ă©galement un problème.

« Il y a beaucoup de bâtiments », explique-t-il. « Il y a un immeuble vide de 450 000 pieds carrĂ©s. Il y a le bâtiment 200 qui Ă©tait un centre d’appels qui est maintenant vide. Nous voulons remplir ces immeubles et y crĂ©er des emplois. »

 

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